Le chalet de Pero-Ximo

C'est la place où on mange des mouches noires avec du ketchup sauvage. Mais ça serait pas drôle si les mouches devenaient géantes et qu'elles voudraient manger parce qu'il faudrait se cacher des mouches et vivre en cachette

23 février 2006

Hugo à la ferme

Chapitre 1 Quand Hugo regarde au loin, il ne voit pas de ferme. S'il regarde de chez lui. Parce que s'il regardait à partir de la ferme, il verrait la ferme. Alors il s'ennuie. De la ferme. Parce qu'il ne la voit pas de chez lui. Même s'il est un homme occidental, il aime la ferme. Qu'il ne voit pas. Hugo est triste. Il pleure. Parce qu'il est triste. De ne pas voir la ferme. Où il y a des vaches. Des vaches fermières. Parce que les vaches sauvages ne vivent pas à la ferme. Que Hugo ne voit pas. Les vaches la voit, elles. Mais pas les vaches sauvages. Mais les vaches ne voient pas Hugo. Alors Hugo va à la ferme. Qu'il ne voyait pas. Mais il voit des vaches. des vaches fermières. Pas des vaches sauvages. Parce que les vaches sauvages sont dans les forêts. Et elles ne voient pas Hugo. Les vaches sauvages. Mais les vaches fermières voient Hugo. Parce qu'elles sont à la ferme. Et Hugo est à la ferme. Chapitre 2 Les vaches font une fête de bienvenue. Pour l'arrivée d'Hugo. Qui est arrivé à la ferme. Où il y a des vaches. Des vaches fermières. Qui font une fête. Pour lui souhaiter la bienvenue à la ferme. À Hugo. Elles lui ont préparé des breuvages. À Hugo. Pour qu'il boive. Les breuvages. Que les vaches ont fait. Avec de la vodka. Dans des verres. Pour Hugo. Pour les vaches aussi. Tout le monde boit. Le breuvage. Que les vaches ont fait. Avec de la vodka. Mais la vache russe l'a trafiquée. La vodka. Parce qu'elle est fachée. La vache russe, pas la vodka. La vache russe est une vache fermière. Parce qu'elle habite à la ferme. Mais la partie russe de la ferme, pas la partie pas russe. Parce que c'est là qu'elle fait la vodka. Qu'elle a trafiquée. Que tous ont bu. Dans un breuvage. Avec de la poudre de roches. Qui bloque le cerveau. Le cerveau des buveurs. Qui ont le cerveau bloqué. Chapitre 3 Pendant ce temps, les vaches courent. Pas les vaches fermières. Parce qu'elles ont le cerveau bloqué. À cause du breuvage de fête. Avec de la vodka trafiquée. Les vaches sauvages. Elles courent. Dans les forêts. Les montagnes. Les rivières. Les falaises. Les trous. Elles courent partout. Mais pas dans la vodka. La vodka trafiquée. Soudain, elles sont à la ferme. Les vaches sauvages. Les vaches fermières aussi. Hugo aussi. La vache russe aussi. Mais pas la maison de Hugo. Mais eux, ils ont le cerveau bloqué. À cause de la vodka. Mais pas les vaches sauvages. Parce qu'elles ont pas bu. Du breuvage. Pour fêter. Elles volent le buffet. Qui était là. Mais la vache russe bouge. Parce qu'elle avait pas bu pour vrai. Elle leur a fait une bonne blague. Les vaches sauvages rient. Épilogue Plus tard, c'est fini. Le blocage de cerveau. À cause du breuvage. Hugo est content. Parce que c'est la fête. Mais Hugo n'est pas content. Parce qu'il n'y a rien à boire. Sa langue est sèche. Elle se craquèle. La langue, pas la vache russe. Finalement, il boit de l'eau pour chats. Hugo, pas le chat. Ça coûte moins cher que de l'eau pour les personnes. L'eau pour chat. Pas Hugo. Mais l'eau pour chat, c'est pas bon. Il crache. Il crache. Il crache. Il arrête pas de cracher. Hugo, pas le chat. Il crache un chat. Qui habitait dans sa gorge. Hugo s'est débarassé de lui. Du chat. Dans la gorge. La gorge de Hugo. Pas la gorge du chat. Ou la gorge de la vache russe. Hugo est content.

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22 février 2006

Béatrice la saxophoniste

Béatrice souffle de l'air. L'air va dans le saxophone. Il a pas le choix. D'aller dans le saxophone. C'est pas lui qui décide. C'est Béatrice. Béatrice décide la vie de l'air. Mais l'air, il comprend ça. Sinon, ça serait la rebellion et ça conduirait à une mort certaine du peuple. Et ensuite on s'étonnerait de toute cette violence. Mais il est sale. Le saxophone, pas l'air. Puis, ça rebondit sur la boule de saleté. L'air rebondit. Parce que c'est de la saleté en caoutchouc. L'air ressort du saxophone. Ça va dans la bouche de Béatrice mais Béatrice, elle voulait souffler. Souffler de l'air. Parce que elle en avait aspiré d'autre. De l'air. Béatrice a des poumons. Elle respire de l'air. Elle s'étouffe parce que l'air est allé dans son estomac. Elle souffre pendant 2 semaines. Ensuite, elle lave son saxophone. Elle le lave dans le bain. Ensuite, Béatrice va dormir. Mais elle a pas séché son saxophone. Mais elle dort quand même. Mais elle a regardé l'heure sur son réveille-matin. Pour savoir l'heure. Puis, le matin arrive. Béatrice ne dort pas le matin. Elle dort la nuit. Parce qu'elle est plus appropriée. La nuit. Pas Béatrice. Il n'y a pas de raison pour laquelle Béatrice aurait été appropriée pour dormir. Soudain, c'est l'heure du saxophone. Béatrice souffle. Souffle de l'air. L'air va dans le saxophone. Lair pousse l'eau qui est là. Là, c'est dans le saxophone. L'eau est restée là. Ça coule. L'inondation arrive. Les baleines s'installent. Béatrice attrape des poulpes et va les vendre en ville. Elle est riche et a un jet privé.

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16 février 2006

Le crabe vaniteux.

Le crabe vaniteux est tombé dans l'essence. Bien fait pour lui, ça lui apprendra. Apprendra à être vaniteux avec son noeud papillon en vraiaiaiaiaie soie. Il allait à l'exposition sur l'art moderne. Le crabe, pas le noeud papillon. Un noeud papillon, ça va nulle part. C'est sans but. Ça vit pas pour vrai. Mais c'est de la vraie soie. Le noeud. Un crabe en soie, c'est pas un vrai crabe. C'est de la camelote pour les fasst-food. Le crabe, il allait à l'exposition. L'exposition sur l'art moderne. Son noeud papillon, il connait rien à l'art moderne. Le crabe, c'est un ignare. Il connait rien. Mais, lui, c'est pas un noeud papillon. c'est un crabe. Parce que si c'était un noeud papillon, il ne porterait pas de noeud papillon. C'est pas coquet, un noeud papillon. Le crabe, lui porte un noeud papillon en vraiaiaie soie. C'est un vaniteux, alors il est tombé dans l'essence.

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Le singe-loup d'Irlande

En Irlande, il y a une caverne sous-terraine suspendue dans les airs sous un érable gentil. Dans la caverne, c'est le pire danger connu au nord du sud de la caverne sous-terraine suspendue dans les airs sous un érable gentil. Ça veut pas dire que c'est pas le pire danger au monde dedans la caverne mais des fois, on le sait pas si c'est le pire au monde et on dit que c'est peut-être pas le pire danger au monde. Mais c'est quand même dangereux. Dans la caverne, il y a un singe-loup. Il a deux yeux de loups. Il des pattes de singe. Il a deux yeux de singe. Il a un pelage de loup. En dessous, il a un pelage de singe. Il a chaud. Il sue, il sue, il sue. Il construit des ventilateurs avec les connaissances qu'il a volé aux ingénieurs en ventilation de cavernes. Le jour, il descend au village au centre de l'Irlande. Les villageois, ils le reconnaissent mais ils le disent pas. Les loups, c'est suceptibles. C'est vaniteux. C'est coquet. Il se pomponne. Le singe-loup. Pas le village au centre de l'Irlande. Il porte souvent son col de dentelle que sa grand-mère portait le jour de ses noces. C'est nostalgique, un loup. Mais aussi, il y a des connaissances dans le col. Ça attire son côté singe. Le singe-loup apprend avec bonheur la dentellerie. Après, il fabrique des habits en dentelle aux singes purs pis on croit que c'est des grandes dames ou des duchesses, mais c'est des singes qui veulent voler nos connaissances. Si on voit des dentelles, il faut la renifler. Les dentelles de singe puent la sueur du singe-loup. c'est comme ça qu'on le sait.

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12 février 2006

Les singes

Les singes, ils veulent voler nos connaissances. Ils regardent les livres de chimie. Les singes , ils sont derrière nous. Au début, ils vivent dans les murs noirs. Les singes, pas les livres de chimie. Il y en a des gros, des petits, des parfumés, des aveugles et des coquets. Des singes coquets. Des singes aveugles. des singes parfumés. Des singes petits. Des singes gros. C'est pas leur taille qui est inquiétante, c'est leur côté sournois. C'est silencieux, un singe. Ça vit dans les murs. Une fois, il y a eu des cas de singes dans les plafond. C'est à cause du noir. Ça aime le noir. Les singes. Le pelage foncé des singes. C'est ça qui les cache. On le voit pas sur le devant du mur. Mais ils vivent dedans le mur noir. Des fois, ils sortent une tête. Des fois, ils sortent leurs pattes. Des fois, y a rien qui dépasse. c'est caché complètement. Les singes, pas le mur. Ça glisse le long du plancher. Sans un son. C'est silencieux, un singe. Quand ça veut être silencieux. Parce que quand ça veut faire du bruit, ça fait du bruit. La nuit, ils jouent dans des orchestres. La symphonie empêche de dormir. Empêche les gens, pas les singes. Les singes savent faire la sourde-oreille aux bruits indésirables. Ça se fatigue pas. Un singe, pas un orchestre. Ce qu'il faut, c'est utiliser des barrières à singe. Quand ils soufflent dans notre coup, on tape sur la barrière. À grands coups. La barrière résonne de toutes ses forces. L'alarme, ça avertit les gens qui les entendent pas pas. Les singes pas entendus, pas l'alarme. Si on entend pas l'alarme, on le sait pas. Que les singes sont là. Ou bien des monstres à singe. On peut utiiser des monstres à singe. Ça débusque les singes tapis dans le noir pis ça les tue. Les monstres à singe, pas les orchestres. Mais aussi, on empoisonne les mangeoires. Parce que ça mange, un singe. Avec du poison. Avec de la lenteur. Avec de la maladie. Les singes, ça se foudroye si on sait comment. Mais sinon, ils viennent en nous pis ils nous volent nos connaissances. Pis là eux autres ils savent tout pis nous on sait rien.

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05 février 2006

Les dangers qui planent

Des fois, on sait pas que le danger plane au loin vers nous. Des fois on le sait. On sait le danger. Ça prend du flair. Les coyotes, ça le sait. Ça sait le danger mais aussi les odeurs de la salade du chef. C'est à cause de son flair. Ça explique le savoir du danger. Moi, je l'entends. Le danger, pas le coyote qui se parfume. Ça fait pas de bruit un coyote qui se parfume. Le coyote choisi toujours des parfums muets. Ça siffle, ça creuse des trous dans les oreilles. Le danger. Le danger qui plane au loin vers nous. C'est surtout des singes, des loups et des aliments mal désossés. Le danger. Les coyotes, ça compte pas comme un danger. Ça flair le danger qui plane mais ça plane pas. Le son du danger, ça s'en va vers mes oreilles. Ensuite, je sais que les singes planent vers moi. Ça prend toujours une barricade. Pour que ça se fracasse. La tête du singe qui plane. Pas le coyote. C'est pas un danger, le coyote. En premier, le singe plane. Après, il frappe la barricade pour que sa tête casse. Ça finit qu'il ne plane pas. Il lui faut sa tête pour planer. Le singe, il a des ailes mentales. Il les étend au loin. Ça plane. Mais c'est vrai aussi pour les loups et les aliments mal désossés. C'est pas une question de point de vue. C'est vrai. Je les entends.

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