Le chalet de Pero-Ximo

C'est la place où on mange des mouches noires avec du ketchup sauvage. Mais ça serait pas drôle si les mouches devenaient géantes et qu'elles voudraient manger parce qu'il faudrait se cacher des mouches et vivre en cachette

27 janvier 2006

Jim va au Groenland

Jim fonce tête baissée. Mais ses jambes touchent le sol. Les jambes de Jim, pas les jambes de sa tête. Soudain, il a soif. Jim, pas le sol. Il veut de l'eau du Groenland. Le Groenland, c'est pas plein d'impuretés. C'est pas comme de la soupe sale. Parce que des fois, au Mexique, il y a des bêtes dedans. Dans l'eau du pas-Groenland. Tout ça à cause de Jim qui a soif. Mais c'est pas de sa faute; il a soif. Jim a soif, pas le Mexique. Le Mexique, c'est un pays-chameau. Il a jamais soif. Mais il ne porte pas de matériel sur ses bosses. Le Mexique, ça a pas de bosse. C'est pas un vrai. Un vrai chameau, pas un vrai Jim. D'un autre côté, Jim, c'est pas le Mexique parce que dans le fond, il boit l'eau du Groenland. Jim, il doit aller au Groenland pour avoir de l'eau sans bêtes ni arêtes. C'est aussi vrai qu'il n'aime pas l'eau avec des arêtes. Au Mexique, il y a pas d'arêtes. Le problème, c'est surtout les verres. Tout à coup, Jim va au Groenland. Il passe par la seule route qui existe au Canada. C'est la route qui va au Groenland. La route, elle a des caillous. Pas l'eau. Pas Jim. La route. C'est comme si elle avait été trafiquée pour tuer les loups qui marchent. Les loups marchent sur la route. Les roches les tuent sur le coup. C'est évident. Jim a peur d'être un loup. Les loups meurent. Jim meurent pas. Jim n'est pas un loup. Ensuite, Jim arrive au Groenland.

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24 janvier 2006

Les loups au théâtre

Dans le milieu du théâtre, le chef des répare-planchers répare le plancher. Les loups sont souvent fâchés, même s'ils sont affublés de leurs plus beaux atours. Le chef-répare le plancher, pas les loups. Ils sont souvent fachés. Les loups, pas les théatres. Le plancher est brisé. Les loups crient. Ils crient parce qu'ils sont fâchés. Les loups, pas les répares-planchers. Les répare-planchers, ça répare des planchers. Madame Loup avait même mis sont beau collier de perles. Les loups avaient cassé le plancher. Parce qu'ils étaient fâchés. Pas parce que le plancher était brisé. Le plancher était pas brisé. Il était brisé après. Le plancher, pas le théâtre et ses 28 portes en argent doré. Les loups. Dans le théâtre. Mais là, ils ont cassé le plancher. Ensuite, ils ont reçu un coup de pied.

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23 janvier 2006

Le début des exploits épiques de Guli-Gulo

C'était un après-midi. La ruche allait de bon train. Guli-Gulo l'avait remarqué. Que la ruche allait de bon train. La ruche était là. Elles riaient. Les abeilles, pas la ruche. Les abeilles dans la ruche. Les abeilles riaient. Parce que la ruche allait de bon train. Pas parce que leur gourou le disait. Parce que la ruche allaient de bon train. Le gourou, ça lui dérangeait pas qu'elles rient. Les abeilles dans la ruche. Qui allait de bon train. Mais c'est pas pour ça que le gourou était pas d'accord. Il était d'accord. Guli-Gulo aussi. Les citoyens abeilles aussi. La ruche aussi. Parce qu'elle allaient de bon train. Après, ça va mal. Mais ça continue. Il faut pas arrêter pour ça. Ensuite, c'est pas mal mieux. Guli-Gulo rit. Les abeilles aussi. Les abeilles dans la ruche. Le lendemain, la ruche est partie. Guli-Gulo pleure. Parce que la ruche est partie. La ruche voulait pas partir. Les abeilles voulaient pas partir. C'est le gourou. Il voulait partir. Pas Guli-Gulo. Le gourou. Pendant ce temps, les abeilles courent. Les abeilles courent après la ruche. La ruche va vite. Les abeilles courent après. La ruche court. Elle veut pas courir. La ruche, pas les abeilles. Mais le gourou lui dit de faire ça. De courir. Les abeilles courent. Les abeilles courent après la ruche. Guli-Gulo pleure. Le gourou crie:"cours, cours, cours" Pauvre ruche. Elle cours. Les abeilles courent. Guli-Gulo cours pas. Le gourou crie:"cours,cours,cours". Guli-Gulo entend le cri du gourou. Après, ça continue Ensuite, les abeilles courent. À SUIVRE....

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Dangers de la vie: les chèvres de montagne

Il faut faire attention si on voit des chèvres de montagne, car elles sont kleptomanes. Voici comment les reconnaître -leurs pattes d'en avant sont beaucoup plus longues que leurs pattes arrière(pour grimper les montagnes) -elles ont de la difficulté à descendre les pentes -elles ont des yeux rouges pcq elles sont méchantes -elles sont grises pour se camoufler dans les roches de montagne Remarque: J'ai remarqué que ce qui fait peur, c'est de savoir que les chèvres de montagne tricotent des chandails de laine de chèvre et qu'elles les cachent dans les stock de chandails de laine de chèvre de pas-montagne. C'est dangereux. En plus, c'est illégal.

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La vie du bouc

Il a pas assez de manger dans sa bouche. La bouche du bouc. Le bouc qui mange. Qui mange du manger. Du manger qui manque dans sa bouche. Mais là, il y en a pas assez. Le bouc a une bouche. Il a mis du manger dedans. Mais il y a pas assez de manger. Le bouc s'en rend compte. Il se rend compte qu'il y a pas assez de manger dans sa bouche. Il a peur. Peur de mourir. Mourir de faim. Parce qu'il a pas assez de manger dans sa bouche. Soudain, il ne s'en rend plus compte. Qu'il a pas assez de manger dedans sa bouche. Après, il s'en rend compte. Il a peur. Peur de mourir. Mourir de faim. Il crie. Il crie. Il crie la bouche ouverte. Parce qu'il peut pas crier la bouche fermée. Sa bouche est ouverte, pas fermée. Un mouche va voir dans sa bouche. Sa bouche ouverte. Parce qu'il crie. Il crie. Il crie. Il ne crie plus. Parce qu'il a plus de souffle. Parce qu'il crie depuis longtemps. Il ferme la bouche. Parce qu'il ne crie pas. Pas parce qu'il a plus peur. Peur de mourir. Mourir de faim. Mais la bouche enferme la mouche. La bouche visitée par la mouche. Pas la bouche de la mouche. Le bouc mange la mouche, pas sa bouche. Il est pas capable de manger sa bouche. Le bouc n'a plus peur. Ensuite, c'est la joie. Il rit. Le bouc, pas le manger.

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Pero-Ximo

Pero-Ximo est là. Pas là-bas. Là. Il chante. Pero-Ximo, pas un phoque multi-pattes. Pero-Ximo aime ça. Chanter. Chanter des mots. Chanter des chiffres. Chanter des saumons, Mais il aime pas ça. Chanter. Chanter comme un corbeau. Pero-Ximo, c'est pas un corbeau. Il chante quand même. Mais des fois, il chante pas. Soudain, il chante. Pero-Ximo, c'est un oiseau bleu, pas un corbeau. Un corbeau, c'est pas bleu. Pero-Ximo est bleu. Pas le corbeau. Le corbeau chante. Pero-Ximo chante. Mais c'est pas la même chose. C'est comme pour les pianos. Ça chante aussi. C'est noir aussi. Le piano, pas Pero-Ximo C'est pas un piano, Pero-Ximo. C'est pas un corbeau Pero-Ximo. C'est pas un piano, un corbeau. C'est bleu ou noir, mais c'est pas pareil. Des fois ça chante, des fois ça chante pas. Même qu'un piano, ça jamais eu de plumes. Pero-Ximo a des plumes. Le corbeau a des plumes. C'est pas pour ça que c'est pareil. C'est pas pareil parce que c'est pas la même chose. Un corbeau, c'est pas Pero-Ximo. C'est pour ça que le piano a pas de plumes. C'est pour les différencier. Le piano et le corbeau. Pas Pero-Ximo.

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Conte du jour de l'an

Un jour, il y a de la glace par terre. Mais la route est glacée, faque ils peuvent pas passer dessus ssssssssssans glisser sur la glace. Mais ils vont chez leur mere grand pour lui souhaiter la bonne année. Mais ils peuvent pas y aller. Parce que la glace les fait glisser par terre, parce la glace glisse. La grand mere les attend, une chaudiere de beurre a la main, mais ils arrivent pas, mais le beurre gele. C'est alors que la grand mere entre en dedans parce que le beurre pogne en glace. Elle échappe le beurre. Puisque c'est rendu de la glace, elle peut plus se promener dans la maison parce ca glisse. Soudain, le beurre finit par fondre. La grand mere peut se promener dans la maison. M'ais ils arrivent pas parce que la glace dehors n'est pas a l'intérieur. Ils y vont quand meme sur la glace mais ils trouvent que c glissant parce le glace est dehors. La route aussi. La grand mere ramasse son beurre fondu et retourne dehors.La grand mere les attend, une chaudiere de beurre a la main, mais ils arrivent pas, mais le beurre gele. C'est alors que la grand mere entre en dedans parce que le beurre pogne en glace. Elle échappe le beurre. Puisque c'est rendu de la glace, elle peut plus se promener dans la maison parce ca glisse. Soudain, le beurre finit par fondre. La grand mere peut se promener dans la maison. L'auto arrive chez la grand mere mais le beurre a coulé sur son stationnement. Apres, l'auto est dans le beurre et son moteur étouffe parce que il y a trop de beurre sur les roues. Le beurre coule vite dans la rue et la température se réchauffe. le beurre englouti la ferme du voisin et l'épicerie. Ils entrent chez la grand mere et la grand mere va jouer dehors.

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Les loups

Au Saguenay, le boulanger surveille son pain. A cause des loups. Il y en a qui en veulent. Du pain. C'est pour ca qu'il le surveille. Mais les loups l'ont mangé. Le pain. Mais le boulanger les a piégés. Les loups. Avec le pain. Qu'ils ont mangé. Il a mis des roches dedans. Le pain. Mais les loups l'ont mangé quand même. Parce qu'ils savaient pas. Qu'ils étaient piégés. par des roches. par le boulanger. dedans le pain. Les roches ont bloqué leur estomac. aux loups. parce qu'ils ont mangé du pain avec des roches dedans. Parce que le boulanger en avait mis dedans le pain. Pour les piéger. Parce qu'ils voulaient le pain.

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